L'allusion est fugace et ne sert finalement que l'intérêt de sa chanson en lui offrant un dénouement inattendu, et ne traite aucunement des comportements addictifs au travail, en l’occurrence le jeu sur ordinateur. Juliette, puisqu'il s'agit d'elle, auteure, compositeur et interprète, elle même fan de "gaming", dans Fantaisie Héroïque, un titre de son album "Mutatis Mutandis (2005) se lance dans une suite d'aventures où elle endosse les habits de "l'aventurière qui doit sauver le monde", et combat aux côtés d'Ad'arana la blonde, fille d'elfe et guerrière, et de "Gaëlan demi orque, au trois quart magicien". Pour finir par être réveillée par la D.R.H. qui lui promet un licenciement sur le champ si elle continue à se perdre dans ses jeux électroniques !
Source documentaire : Management - Arts et Métiers (David ABIKER) - Octobre 2016

Au cinéma, au théâtre ou dans la littérature, le métier et le statut des protagonistes ou leur environnement professionnel peut avoir une incidence sur l'intrigue. Et parfois, c'est le monde de l'entreprise lui même qui fait l'objet du scénario. Volontation propose un panorama des conditions de travail dans la littérature, au théâtre, au cinéma, à la télévision ou dans la chanson ...
jeudi 29 décembre 2016
mercredi 28 décembre 2016
Une distinction pour le livre d'entreprise : "Le prix du roman d'entreprise et du travail"
Organisé par Place de la médiation et Technologia le Prix du roman d’entreprise et du travail consacre depuis 2009 un romancier pour "ses qualités littéraires et la lucidité de son regard sur le monde du travail". Pour 2017, le comité de sélection a retenu les œuvres suivantes :
Pour retrouver l'historique de ce prix, voir l'article sur Wikipédia qui lui est consacré.
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Avec vue sur la mer de Slimane KADER Lauréat du prix en 2016 |
- Je vais m’y mettre, de Florent Oiseau (Allary Editions)
- Brillante, de Stéphanie Dupays (Mercure de France)
- Déserteur, de Boris Bergmann (Calmann-Lévy)
- Du pin et des larmes, de Philippe Mediavilla (Editions Cairn)
- Le grand marin, de Catherine Poulain (Editions de L’Olivier)
- Police, de Hugo Boris (Grasset)
- Chanson douce, de Leïla Slimani (Gallimard)
- Les visages pâles, de Solange Bied-Charreton (Stock)
- Le cri, de Thierry Vila (Grasset)
- La grande arche, Laurence Cossé (Gallimard)
- Désolée, je suis attendue, de Agnès Martin-Lugand (Michel Lafon)
- La correction, de Elodie Llorca (Rivages)
Pour retrouver l'historique de ce prix, voir l'article sur Wikipédia qui lui est consacré.
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